Dans son cadre d’origine en bronze doré. Le revers inscrit 1702 V / III 7 / A…
55 × 71 cm (avec cadre)
43, 5 × 60 cm (sans cadre)
Commandé par François Etienne de Lorraine (1708‑1765), grand‑duc de Toscane, époux de Marie‑Thérèse d’Autriche
Livré avec la série des six Jeux à Vienne, Palais impérial, Wallnerstrasse
Collection Luca Batelli, Florence,1871
Il fasto e la ragione: Arte del Settecento a Firenze, Galleria degli Uffizi, Florence, 30 mai‑30 septembre, 2009, nº88, pp. 246‑247
Distelberger (Rudolf), Die Kunst des Steinschnitts: Prunkgefäße, Kameen, und Commessi aus der Kunstkammer, Kunsthistorisches Museum, Vienne, 17 décembre, 2002 ‑ 27 avril 2003, p. 345
Giusti (Annamaria), Un capolavoro ritrovato: Il gioco del biliardo, Florence, 2007, (imprimé à titre privé)
Catalogue d’exposition, Il fasto e la ragione: Arte del Settecento a Firenze, Galleria degli Uffizi, Florence, 30 mai‑30 septembre 2009, nº88, pp. 246‑247
Giusti (Annamaria), La fabbrica delle meraviglie, la manifattura di pietre dure a Firenze, edifir, Florence, 2015, p. 54, fig.65
Le Jeu de billard, disparu depuis sa commande en 1752, et seulement brièvement mentionné dans le commerce de l’art florentin vers 1870, constitue une redécouverte majeure.
Il fit partie de la commande la plus importante produite par les ateliers grand-ducaux à Florence au XVIIIe siècle : l’ensemble de plus de soixante « tableaux » marqueterie en pierres dures crée pour François Étienne de Habsbourg-Lorraine (1708–1765), époux de l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche en 1736, devenu grand-duc de Toscane en 1737 après la fin de la dynastie Médicis et élu empereur des Romains sous le nom de François 1er en 1745.
Un seul autre panneau en pierres dures, également d’après un dessin de Zocchi représentant l’Allégorie de l’Architecture est apparu sur le marché ces dernières années.